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For Whom Masculinities Matter: Causerie d’Artistes

Location

Never Apart
7049 Rue St–Urbain
Montreal, QC H2S 3S4

Billets / RSVP

Gratuit
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Catégories d’événements


Joignez-vous aux artistes et commissaires de l’exposition «For Whom Masculinities Matter» pour une conférence d’artiste à Never Apart.

Un brunch léger sera offert dans le cadre d’un cercle de discussion animé sur les genres traditionnels non-occidentaux comme moyen de ~décoloniser~les masculinités toxiques. Après le brunch, nous nous baignerons dans la piscine.

À propos de l’exposition

Avec Lacie Burning et Léuli Eshraghi avec asinnajaq et Dayna Danger. Commissarié par Adrienne Huard et Lindsay Nixon pour gijiit

Vernissage: Jeudi, 11 juillet, 18-22h.

Des ouvrages récents tels que «Masculindians» (2014) et «Indigenous Masculinities» (2015) ont soulevé des préoccupations au sujet des cultures coloniales de masculinité toxique naturalisé chez les hommes autochtones. Cependant, ces œuvres s’appuient souvent sur des récits performatifs d’hommes cisgenres hétérosexuels revendiquant des représentations guerrières, parfois indépendamment de l’éthique des relations de ces hommes avec les femmes dans leur vie. Le cadre cis et hétéronormatif des études, de la théorie et de l’art de la masculinité autochtone ne facilite pas le développement de formes de masculinité fluides, ni même traditionnelles. Et pourtant, la criminalisation des hommes et des garçons autochtones persiste. Commissionné par Lindsay Nixon et Adrienne Huard pour gijiit, «For Whom Masculinities Matter» demande, qu’est-ce qui n’a pas été dit au sujet des masculinités autochtones? Qu’est-ce que la tendresse radicale et la fluidité du genre peuvent nous apprendre sur les masculinités autochtones conscientes, anticoloniales et tendres ?

gijiit est un collectif de commissariat basé à Montréal et Toronto dont la pratique se concentre sur l’art autochtone communautaire et engagé, sur les sujets du genre, du sexe et de la sexualité.

Reconnaissance des terres

Never Apart reconnait que la terre sur laquelle nous nous réunissions pour cet évènement est située en territoire autochtone, lequel n’a jamais été cédé. Nous reconnaissons la nation Kanien’kehá: ka comme gardienne des terres et des eaux sur lesquelles nous nous réunissons aujourd’hui. Tiohtiá: ke / Montréal est historiquement connu comme un lieu de rassemblement pour de nombreuses Premières Nations, et aujourd’hui, une population autochtone diversifiée, ainsi que d’autres peuples, y résident. C’est dans le respect des liens avec le passé, le présent et l’avenir que nous reconnaissons les relations continues entre les Peuples Autochtones et autres personnes de la communauté montréalaise.

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