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Ancestors, Can You Read Us? (Dispatches from the Future) + Antarctica

Artistes de l’exposition

Syrus Marcus Ware

Catégories d’exposition

Data Thieves: Ce que nous transmettent nos archives

Présenté par Massimadi et Nigra Iuventa

L’exposition Data Thieves : ce que nous transmettent nos archives pose un regard sur le temps et l’histoire. Les personnages représentés dans les œuvres des artistes Yannis Davy Guibinga et Syrus Marcus Ware permettent d’établir des connexions fortes entre l’identité, la fluidité de genre et la futurité. Ces personnages, par moments dans des espaces tangibles et par d’autres dans des lieux incertains, nous véhiculent quelques indices de ce que notre avenir nous réserve. En espérant nous donner l’information nécessaire pour avancer dans le présent, ielles traversent les époques et nous envoient des archives de notre passé. Ce sont des êtres hybrides, tel des data thieves, pour qui le temps n’est plus un ennemi, mais plutôt un outil d’apprentissage.

Les data thieves, figures créées par l’artiste et écrivain ghanéen John Akomfrah, ne se définissent pas. Tels des êtres intemporels, ielles n’ont ni genre ni époque précise. Ielles se matérialisent sous plusieurs formes, celle d’un enfant ou d’un adulte nous montrant comment nous protéger
comment prendre soin de nous
comment se célébrer
comment s’unir
comment se soutenir
comment survivre nos deuils
et nous commémorer.

Ouverture virtuelle jeudi 11 fevrier à 18h HNE sur les réseaux sociaux de Never Apart (Facebook, Instagram, Twitter).

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Ancestors, Can You Read Us? (Dispatches from the Future)

L’artiste torontois Syrus Marcus Ware imagine un monde où les personnes racisées ont survécu au « spectacle de la mort noire » diffusé dans tous les journaux télévisés du soir, à l’impact catastrophique de l’Anthropocène et aux effets écrasants de la suprématie blanche.

Dans une œuvre commisariée en 2019 par le Toronto Biennial of Art, l’artiste s’appuie sur le langage commun de la fiction spéculative et de l’activisme politique pour transformer le Salah J. Bachir New Media Wall du Ryerson Image Centre en un portail par lequel la prochaine génération de militant.e.s racisé.e.s communique avec nous, leurs ancêtres, et nous offre un aperçu de l’avenir.

Antarctica

Inaugurée à l’origine comme une installation en deux parties au 259 Lake Shore Blvd E (site principal de la Biennale d’art de Toronto) et au New Media Wall du Ryerson Image Centre, Antartica imagine un monde où les personnes racisées ont survécu au « spectacle de la mort noire » diffusé dans tous les journaux télévisés du soir, à l’impact catastrophique de l’Anthropocène et aux effets écrasants de la suprématie blanche. S’appuyant sur le langage commun de la fiction spéculative et de l’activisme politique, Ware crée un portail qui nous amène à l’été 2030 et nous présente onze personnages ayant la citoyenneté de naissance au seul endroit habitable sur terre : l’Antarctique. Leur tâche? Entreprendre la terraformation nécessaire à la nouvelle colonie.

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